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Date de publication : septembre 2021
Rédaction : Sebastien Baert
Dans un article de Forbes, Tomas Chamorro-Premuzic explique que s’il est possible d’apprendre à développer son leadership, certaines personnes en raison de qualités intégrées dans leur vie, ont plus de facilité pour apprendre et intégrer les talents associés à la notion de leadership.
Par exemple, l’humilité, la curiosité, l’intelligence et l’empathie forment un socle sur lesquelles de nouvelles compétences viennent s’ajouter.
Une telle approche justifie pourquoi le plan de développement d’un leader s’articule d’abord autour d’une meilleure connaissance de soi et d’un travail critique sur les représentations que le leader peut se faire de la réalité.
En pratique, il s’agit bien souvent de cultiver la capacité de suspendre – au moins un temps sa représentation, et d’envisager les raisons qui pourraient rendre pertinentes d’autres représentations.
Le leadership n’est pas une fatalité ou un destin, mais le sous-produit du caractère unique des personnes, de leurs histoires et de leurs parcours – c’est ce qui se passe (ou pas) lorsque la personnalité est projetée dans la vie.
Tomas Chamorro-Premuzic
Le leadership n’est ni fatalité ni un destin. - septembre 2021 - article réalisé par Sebastien Baert
Une courte réflexion sur la nécessité d'adopter un leadership holistique pour conduire et réussir un projet de transformation.
Le développement de son leadership repose sur l'acquisition de qualités humaines telles que l'humilité, la curiosité, l'intelligence, l'empathie
Selon McKinsey, le rôle des DRH deviendra central pour définir les fondamentaux des organisations de demain.